si je retourne dans cet appart il y a un presse-papier figuratif qui tente de m’expliquer comment tout ça est arrivé, je veux bien mais je le trouve pas très clair
un pan kaki qui se soulève en disant oui, j’étais là tout ce temps
il y a de la pâte de fruit jaunie qui s’enveloppe, une boule pointue qui se gorge de mie de pain dans les rides
tu te poses sur les balustres avec un rire mal accordé, des orages acides descendent et coulent en iodures à ta surface
tu es vraiment sans vêtements, je pense que je comprends ce que tu dis, j’essaye de te séduire en tressant des céleris-branche imprégnés
dans la repousse de tes poils langue de chat
retraçons les étapes : j’ai regardé dans mon sac, et puis j’ai dû marcher sur une herbe fatiguée
il n’y a pas de mal à aimer les solives, et une ablation de ton t-shirt
un parement de chaleur
je te prépare une boule à thé en forme de coeur un peu cheap
je t’ai déjà vu faire des fils dans l’eau du bain, quand tu sèmes
j’ai pissé dans un de tes pots de fleurs juste pour sentir tes pensées contre mon trou
je crois que c’est l’été où on est parties en florida, ou bien juste dans un aquarium avec des coraux fluos, je sais plus exactement
elle se sentait mal de m’avoir laissée jouer dans sa cage d’escalier
elle a un tout petit cortex mais bien agencé
la prochaine fois elle mettra un animal en voie d’extinction comme fond d’écran
elle porte des chaussures modernes, comme allant de soi,
avec un vêtement en guise de cheminée, l’âtre, pas le conduit,
elle a pelé une pomme d’un seul trait, une seule épluchure toute spiralée sur elle-même, elle a écrit dessus des prières, elle me dit que ça protège mais moi je vois juste des taches bleutées sur de la viande oxydée
on rentre dans le jacuzzi, elle cale ses fesses contre les bulles, en fait c’est pas un jacuzzi, mais ça y faisait penser je trouve, ça lui fait flotter les lobes, des bulles pleines, de messages vocaux qui disent qu’il faudrait rentrer chez toi dès que possible
tu m’enverras une carte postale féministe ?
un plan séquence entre ses cuisses, il y a toujours une pente qui roule, rose se penche par dessus bord et plisse, je suis sûre que ses ongles sont bien léchés, je ne suppose pas,
elle est faite de galets de plage sans algues, un rouleau de tapis tombe avec grand fracas à la traînée des seins
plutôt une petite éponge ronde
j’applique des bandeaux baveux parallèles
ne t’appuie pas trop sur les stores californiens
petits cris de jet d’encre dans une vase de fleurs
j’ai mis mes gémissements dans une housse de clic clac
on pourrait simplifier un peu l’espace, je te propose de garder une fenêtre mais tout le reste fout le camp
je vais mordre cet endroit, un peu le pantone rosé de la truite fumée, et adipeux pareil aussi
je souhaite m’entretenir avec toi dans un territoire épais
l’envie me prend de pénétrer dans le lieu d’exposition où il y a trois banquettes plastifiées
je reste au fond du cornet, dans une flaque froide qui imbibe les parois patiemment
martine va à la mercerie : boutons pression, lacets, sangles et boucles, je lui dépanne un chouchou
je vais mettre des morceaux de ses fruits préférés dans un fromage frais, elle sera obligée d’aimer ça, a priori elle dit qu’elle aime ça
une masturbation décorative plutôt réussie dans une ambiance lounge
je te dis d’arrêter de me regarder quand tu es dans mon cul stp,
pales passions parcourue de traces rouges de mains, une tendance à adopter pour un max de plaisir
je me souviens de son anus dans un k-way et son sexe tapissé de papier peint à motifs tropicaux qui se décolle, lorsque la dilution dépasse 20 parties par millions
son regard s’allume lentement comme une ampoule fluo-compacte
il y a des courants qui agitent une action mal appropriée
les baby carottes ne sont pas des bébés mais juste des carottes de très petites tailles
je la gobe comme un flan, pas de bords aux plis, elle abat jour
c’est bon comme tu somnoles
elle cache quelque chose dans une boule de pâte
oui c’est vrai, j’ai volé quelques affaires à toi, et je me suis mouchée dans ton pull, mais c’est juste pour me sentir un peu plus proche de toi, en vrai je suis plutôt une meuf sympa
elle allume une bougie odorante à la pêche, ce qui ne l’empêche pas tout à fait d’être désirable, elle jette un oeil pendant qu’elle se lime la peau avec une langue collée à l’orange
des traces de permanent au dos de la main, t’as pris mon stylo-feutre à l’eau
c’est gentil d’avoir fait à manger mais impossible d’avaler des nouilles mal beurrées, je rêve de pouvoir te gerber
bizarrement je te reçois, il y a du fructose dans ton langage
ta chatte n’est pas une impasse
tu fais ça avec une colle spéciale où il faut appliquer sur les deux surfaces et attendre 15 minutes avant d’assembler
tu ressembles à un selfie mais c’était vraiment un bon moment
ta fesse est bonne,
sûrement pochées et sûrement des poires,
je ripe, la bouche au fond,
une serviette de bain brodée « toujours » qui sent moyennement le moisi
je mets ton vêtement, je flotte dedans, je baise ce vide
j’avais envie de commander une boisson rafraîchissante qui avait un nom un peu niais, ça m’a inspirée, je veux me prendre sur tes genoux
je voudrais sculpter de la confiture
des développements futurs en forme de tulipe
elle a une appli pour muscler son périnée, l’idée c’est d’avoir une pratique régulière
je sens des traces de fruits à coque souples, c’est les fruits qui sont souples
toi et moi on sait bien pourquoi le parfum du désodorisant coûte moins cher qu’un brin de muguet, ou c’est toi qui pues les tripes
je vais t’écrire un livre avec des pages en choses douces
tu es mon entame de pain de mie tranché et moi je commencerai même par toi, contre mon palais
je voudrais me promener dans l’allée centrale du supermarché avec toi
il serait temps de s’intéresser au sexe, tu penses pas ?
donne moi des choses à faire
j’ai la langue déjà engourdie à travers un anus à plusieurs bords
elle prend le livre de cuisine et à la page de la pâte à beignets elle lui coupe régulièrement des entailles sur la nuque, ça file vite et saigne à peine, ça se suçote proprement
entre les pétales d’une endive, elle lui glisse un mot : c’est la recette pour arriver à se lever le matin, « regarde le plafond au moins une fois il a un message pour toi »
pendant que tes doigts confissent dans mes trous je le fixe
tu as déjà vu, au bord des routes pleines, des piscines vides qui se dressent comme des façades, elles sont remplies de quelques marches et se vidangent bien
je te cache dedans si je te recouvre de leur bleu, elles m’interpellent
si, je sais que l’eau ne verticale pas souvent
tu bouges comme un poisson de sable en fuite, et remonte à la surface en crachat mousseux, je poserais une ou plusieurs bandelettes sur ta surface intérieure, pour examiner l’acidité de ton pH, si tout va bien je replongerai
mes doigts buvards te touchent et te sèchent un peu, dehors, dedans
elle plonge l’oeuf dans l’eau remuée, elle les poche mal et regarde les fils
un moment particulier qui se rapproche, ouvrir et fermer un lit sur une autre jambe
en fait c’est un fossé d’herbe et quelque chose dans la oeil
puis une vague de lavabo, un matin de jour enlisé
je mets des patins feutrés sous mon fauteuil, sous mes pieds, ils se décollent facilement, j’en sème avec propreté
je me suis installée quelques temps dans un endroit où les maisons ont l’air de fours, on ressort compotées
n’oubliez pas de bien vous alimenter ! les pâtes sont des calories vides
elle a enlevé son tampon au fond du jardin et l’a roulé dans une feuille de noisetier,
un pantalon avec beaucoup de plis et une taille qui change régulièrement de hauteur,
on se retrouve dans des espaces qui me font peur (les angles des pièces, les bouts des chaussures), cette fois c’était une poche fermée pas encore décousue
je découpe tes vêtements au milieu exactement et t’ouvre comme une raie, je t’éponge
tu dis que tes hormones te perturbent en ce moment, je ne sais pas si j’en tiens compte,
j’essaye de t’unir à une petite cuillère qui a l’écusson d’une ville en serviette
tu soulèves un jersey, puis un élastique, et ça t’aspire de plus en plus
tu suintes aux entrées
un kit pour baiser comprenant : une feuille de ficus cannelée, du sirop de sucre et un puzzle pornographique avec des godes répétitifs, pour le faire il faut vraiment être attentive aux textures
elle réécrit, elle pose la feuille et elle pose dessus un presse-papier, un objet lourd
elle a décollé tous les mots de ma phrase, résultat je ne peux plus suivre grand chose à la conversation, il reste quelques mots de la nuit, mais ça suffit pas
une tranche de pain carrée qui se transforme en sandwich triangle, tu te moques de moi ?
tu caresses mes plantes, je ne m’y attendais pas, encercler tes lèvres avec tout ce qui est un peu épais
comme ça tu sculpterais des flans pour moi, dans un dispositif destiné à flageller
j’ai peur de parler et que ça soit possible
les yeux ouverts ça te pousse dans tes retranchements
je ne cherche pas une surprise
dis-moi baise-moi
un ventre de lézard sur tes parois et des impressions qui font mal aux doigts
monter les maillons d’un collier de meringues laquées, et faire comme si le printemps n’était pas obscène, un nid de guêpes s’est mis contre ta gouttière et permet d’occuper l’arrière-plan
projeter avec ma bouche un glaçage sur tes caries et respirer très profondément
pour choisir la couleur de la terre, prends du rose sale
un mélange généreux
ne pas se mettre dessus, la carrosserie de clio qui reflète mal le ciel
je te demande de la graisse, à la limite de la louve
même un sachet entamé, ça se garde très bien
presque jusqu’à la couleur de ton foie
elle s’étale et ébauche une flexion, il y a plein de place sur sa peau, c’est dur de se repérer
j’ai peur qu’elle s’arrête de bouger
j’enroule tout ce qui est souple, contre la rage
j’enfle un sein solide, je me coince entre deux lobes
ça s’appelle prendre à la légère
les glissements concaves produisent des grumeaux avec les pressions d’une chatte ouverte qui mange tout
une attention qui se veut sincère, des petites pleurs affectueuses
brève urine sur ma cuisse (ton aube poussin), toujours émue en brassière
nos interactions réconfortantes, avec des mèches levées
enroulée dans un tapis de bain, qui ouvre un espace bouclé
on risque de former un creux au milieu, et refaire tous nos contours, je te dépeins rapidement avec une caresse vers l’ulnaire en t’en apercevant, les mains en étoile
il y a une matière qui bouffe vers le ventre
étouffée dans de la crème légère et quelques peaux mangées en secret
elle se tourne vers la bande de vieilles copines qui rigolent un chou-fleur à la main
on rassemble des brassées de cirses du quartier, puis on travaille dans tes yeux impairs à répéter les consignes
je te garde dans un endroit frais
des oreilles étroites à la base, grasses, et aux reliefs difficiles à retenir, tu te couches sur mon corps qui digère,
ça te dirait de discuter d’humiliation ?
une culotte en nylon qui démange dès qu’elle transpire
il y a des poils plus longs au milieu et en colerette, sur les côtés ils forment de petites boucles emmêlées, sous le ventre ils se rencontrent
surface lustrée placée en haut, toiletter toutes les nuances permises
je joue avec des ongles en amande
je te prépare une cam dans un cyber café, tu y crois, tu n’en penses rien, des cadrages amenuisés, que tu préfères
un léger jet d’eau le matin, j’ai du mal à indiquer exactement la quantité
un ton uniforme ou un arôme artificiel pas déguisé
je recherche une fillx pleine d’imagination et qui respire régulièrement, ok pour les murs parmi une cabine pâle mais piteuse
j’exprimerai beaucoup de choses juste en collant des tâches de fruit
tu proposes quoi du coup ?
je balbutiais par dessus tes lèvres et autour d’un pantalon de jogging assez central dans ta vie
des chaussons d’intérieur pour montrer que tu as jusqu’autour des malléoles mais pas précisément, quand mon coeur fait boom
je dispose un matelas dans ma tête, en croisant deux lunes, l’une d’elle était molle
dans des coussins que tu peux enfoncer plus fort
j’aimerais savoir tes disponibilités
tiens moi au courant, je t’embrasse
Come, butter, come,
Come, butter, come,
Jenny stands at the gate
Waiting for her buttered cake,
Come, butter, come.
c’est la légende du sex shop qui porte malheur
il n’est ouvert que pour les âmes à mycoses
quand elles pénètrent elles jouent aux ingénues des augures
sais tu lire l’avenir au fond d’un gode en verre soufflé ?
oui je vois une rose d’un rosier qui porterait le nom de Loana
et une pomme de libre-échange qui s’appellerait ‘dykes at sunset’ à cause de la couleur
je vois un duo sous les néons d’un copy shop
leur cérumen provient d’une plante grimpante, qui ressemble trait pour trait à une rose trémière mais la différence c’est que ses fleurs poussent à l’ombre
et donc, la plante bourgeonne de très petits sacs dans lesquels se trouvent du cérumen vraiment chaud, liquide, et qui forme une vapeur grêle tellement il est chaud
il vient se déposer dans leurs oreilles depuis l’air pour feutrer les alarmes
il sent un feu d’aiguilles mais en plus rance
à l’arrivée du printemps et des rayons ultraviolets, les cheveux s’embrasent et Reina du réchaud possède une toison hospitalière
elle entend les pas de la couvreuse sur le toit
elle balance sa chanson
Girlfriend, big tits, qu’endolorisse
Pollens, big clits, encore prémisses
Flirting, fisting, pourtant câline
(x2)
ffffsss un courant marin
mon coeur fait boum sur ton rein
je suce les objets lavés avec soin
ohooo, je boufferai tes mouchoirs
jusqu’à la fin du soir
innerve moi encore ouais
je suis fan de ta flore (x3)
je m’appelle grave Juicy
et je préfère les pratiques sans doigts
à la lecture de ton alphabet gonzoïdal je suis confuse et je me transforme en mammifère boueuse, celles qui utilisent leurs poches de lait pour recueillir des gémissements
je me retiens à un accessoire en acrylate, apparemment il fond et ne permet pas de sauvegarder le réel, lamellé comme il est pour ton plus grand plaisir
je ne peux pas vivre sans l’idée de ton front
je prends une grande inspiration, je devine le parfum de ton baume à lèvres, banane-lavande, rien que d’imaginer les couleurs qui correspondent ça me déconcentre pour un moment
mais on dirait que le temps n’a pas trop déroulé
dans ma main repose ta langue
tes lèvres bouffies
et mon sale gaze sur toi
et tout au fond je vois
Joy, Daisy et Aurora
ce sont des alvéoles
elles fabriquent et contiennent un remède à base d’uile pour toutes celles qui souffriraient d’anxiété et même de verrues
elles dorlotent dorlotent dorlotent
elles déposent un bracelet au fond de l’intestin et enchainent avec une danse contemporaine de petits pas exaltement, ça touche un point du coeur
elles préparent un gâteau à la poix, version premium
remue la margarine jusqu’à transparente, et fais reposer dans les draps toute une journée et toute une nuit
tu es pâle quand je gave toi
attention cascada de saliva
la vulve de l’une contre la miction baisée de l’autre
si elles te regardent twinkement tu te mettras à rouiller
l’une devine quelques choses cachées : c’est de la velventine que je sens sur ta nuque
je ne la cache pas je la protège du vent, car ses capteurs sont très sensibilis
avec je peux déchiffrer les taches des vêtements
par exemple ici, sa tache claire et longue, légèrement croûtée, elle est perdue dans le vent et n’entend plus que des courants d’air
peut-être qu’elle trouve ça rafraîchissant
et toi ?
moi je change de couleur sous les ongles quand je m’ennuie
là c’est vert glaire c’est plutôt une légère xxcitation
l’une dort dans une souple douillette
elle se ramolle pendant plusieurs heures, elle rêve de se battre et de vaincre par purée mousseline versée deliciousement
puis d’échouer pour se rendre tendre
entourée de pistils petits elle est au centre d’un appareil de réception sécrétatoire, elle les brosse, elle est joyeuse, ses paupières s’allongent, les images beigeasses la font haleter sans aucun doute
l’une fait du running pour échapper à du coton bouloché qui contient encore mon odeur, mais ses mollets dans la panade c’est joli à voir
on avait dit amateure, sans prendre de peine
meet me dans la prairie
fessées outdoor résonnant dans les gorges, une harmonie de réveil formant des nuées de cris
tu sues de travers quand tu fuck mes abdos
j’ai des graines d’arbres imprimées sur mes tempes et à d’autres endroits plus charnus, elles dessinent des atlas qui expliquent bien comment se promener dans la région de frénésie, surtout il faut emmener une frontale
je compte sur le magnétisme pour rassembler les pensées au rayon lubrifiant
il apparaît qu’un infime cyclône est venu brouiller toutes les prochaines sensations, et qu’il se trouve au bout d’une petite articulation
bouffer son maillot de bain
c’est du jus entre elles
les bandes élastiques résistent, les hanches se posent comme une voûte
l’amour est dans la moelle
Et ton coeur contre mon cul
Et ton coeur contre mon cul
Et ton coeur contre mon cul
Et ton coeur contre mon cul
Et ton coeur contre mon cul
Et ton coeur contre mon cul
Et ton coeur contre mon cul
Et ton coeur contre mon cul
Et ton coeur contre mon cul
Et ton coeur contre mon cul
Renard glamour
amorce anal sans
remords.
Agaves saphiques
accueillent fessées.
Perruche perverse
propose romance
pelvienne.
Tulipes matinales
câlinent périnées
innocents.
Aubergine ingénue
jouit pour
presse-purée discret.
Flamant mouillé kiffe
lub sous la lune.
jvoudrais qu’on décore des parkings
avec des parts de clafoutis
les disposer à la folie
voir cque ça fait à nos feelings
ton shorty qui sent la soupline
change le cours de notre arrosage
et mon cul prend des vitamines
j’ai de la fever dans mon coeur
qui ne demande qu’à s’exprimer
en cahier de coloriage
le soleil perturbe les grandes lignes
à force de tendre et de plier
des perles à rebord vont glisser
ma bouche est une étoile de mer
qui splaint de fatigue musculaire
le mal de mer
sur tes lombaires
ramasse moi à la ptite cuillère
c’est clair
je vais ruiner ton Northface
avec la sueur de mes fesses
mon mal de vivre s’est dissipé
quand tu m’as mise en PLS
une forme opaque
et mal à l’aise
au coeur tendre et bien imbibé
une charognarde
attentionnée
qui éponge tes restes nacrés
une grappe de doigts
une paire de crocs
j’ai pris soin de te nommer crush
j’attendais ça de la full moon
de la colère qui s’effiloche
de la résine qui me lâche pas
et des rapports à
l’amidon
le sparadrap dmes émotions
et des délices perforés
monter jusqu’à l’aine adorée
j’en suis certaine
faut que jte dise mes rêves de fèves
j’ai mis du temps à camoufler
salivaire et décomplexée
enrubanée dans le plaisir
t’as pas fait exprès dm’ensevelir
tu bricoles avec mes viscères
fais pas comme si tu savais pas
t’as conscience de tes appels d’air
mate mon regard un peu vitreux
jsuis juste
restée trop longtemps sur le feu
peux tu m’appeler élasthanne
je t’avoue tous mes noms fuguées
suspendue à ton labello
derrière ma tête j’ai plus d’idées
des conserves de fruits en sirop
tes glucides apaisent mes angoisses
à l’écoute de ton appareil
pour lécher par dessus
le bombé de tes tissus
reprend
mon trouble du sommeil
insister contre ton palais
je strie lentement les accès
tous tes éléments lavables
tes mèches de hauteurs variées
le balayage miel
ressort sur mon oreiller
mon courage a deux mains
et des toys mal nettoyés
admettre une position radieuse
chill les valves
santé baveuse
ta tendresse digitale
agace mon cerveau reptilien
et mes muqueuses vermiculées
ma passion pour ton contouring
me recommande la nudité
j’aime ta baignoire bouchée
dans laquelle je me suis foulée
inhaler ta manucure
pourrait tout faire renverser
choisissons une région
ci-contre tu marques mes flans
entre danser et uriner
tu as un fort pouvoir couvrant
si je devais me prononcer
touche en collant résine
susceptible d’être ingérée
je te présente ma gamme de troubles
logée au bord de la poitrine
ramène moi où tu m’as trouvée